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Les principales erreurs à ne pas commettre en fiscalité immobilière

Les principales erreurs à ne pas commettre en fiscalité immobilière

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La fiscalité immobilière est une matière complexe et qui évolue sans cesse.

Il est donc important de connaître les principales erreurs à ne pas commettre en fiscalité immobilière pour ne pas se faire avoir. Nous allons voir çà de plus près dans cet article.

Les principales erreurs à ne pas commettre en fiscalité immobilière

Les erreurs liées à la déclaration d’impôt

Le montant de vos revenus est primordial pour déterminer le taux d’imposition qui s’applique à votre foyer fiscal. Pour ce faire, vous devez remplir la déclaration d’impôt et consigner les informations nécessaires. Cependant, certaines erreurs peuvent être commises lors de cette démarche. Quelles sont les erreurs liées à la déclaration d’impôt ? Lorsque vous remplissez votre déclaration d’impôt, il est important de prendre soin des informations que vous avez fournies. Si vous ne faites pas attention, des erreurs peuvent survenir et entraîner une mauvaise estimation du montant de votre impôt à payer.

Voici quelques-unes des principales erreurs liées aux déclarations d’impôts : Ne pas tenir compte des différences entre les revenus perçus en France et en Belgique Les sociétés étrangères qui ont un siège social en Belgique doivent indiquer leur résultat fiscal sur le formulaire 2052, sauf si elles bénéficient du régime mère fille (rattachée au régime français). En cas de changement ou modification ultérieur du résultat fiscal au cours d’une année fiscale donnée, il faut effectuer une nouvelle demande avant le 31 mars suivant pour que les nouvelles données soient prises en compte pour l’année fiscale concernée.

Les erreurs concernant la base imposable

L’administration fiscale considère que les loyers versés par un propriétaire bailleur sont des revenus fonciers lorsque le logement loué est donné en location nue.

Le revenu imposable est alors soumis au barème progressif de l’impôt sur le revenu, mais ce n’est pas une obligation car il existe d’autres possibilités. En effet, vous pouvez opter pour : L’option pour la déduction forfaitaire L’option pour le régime réel simplifié L’option pour le micro-foncier La déduction forfaitaire de 30 % Les revenus issus de la location meublée relèvent du régime des Bénéfices Industriels et Commerciaux (BIC). Dans ce cas, vous avez la possibilité de bénéficier d’un abattement forfaitaire qui peut atteindre 70 %.

Il ne sera pas possible de bénéficier d’une exonération si les recettes locatives brutes issues de cette activité sont supérieures à 23 000 €. Pour plus d’informations sur ces options, reportez-vous au BOI-RFPI-BASE-20-30. Cependant, toutes les charges engagées ne peuvent être déduites: seules celles liées à l’utilisation du local sont admises, notamment les frais de gestion et d’entretien courant. Toutefois, si elles sont importantes ou spécifiques à votre activité professionnelle (traitement des eaux usagés par exemple), elles doivent être intégrée aux charges déductibles du résultat fiscal et figurer sur la déclaration 2044 spéciale ou 2042 spérciale.

Les erreurs sur les biens immobiliers

Pour réussir votre investissement, il est important de ne pas commettre d’erreurs.

Voici quelques erreurs à éviter lorsque vous achetez un bien immobilier.

Vérifier que le bien correspond à vos besoins et à votre budget.

L’achat d’un bien immobilier doit être effectué en fonction de ses besoins et de son budget. En effet, un logement trop grand ou trop petit peut faire perdre beaucoup d’argent au futur acquéreur.

Le prix du mètre carré est souvent fixé par les banques pour chaque secteur géographique, alors prenez le temps de comparer les prix pratiqués sur le marché avant d’acheter un bien.

La situation géographique du logement n’est pas non plus sans importance : elle va déterminer sa qualité et sa rentabilité future.

Il est donc primordial de choisir une zone qui soit intéressante pour l’investissement locatif. Bien connaître la localisation du logement convoité est également important : il faut savoir si la zone se situe dans un quartier dynamique ou non, si elle regroupe des commerces et des transports en communs proches. S’assurer que le bien a été correctement entretenu par l’ancien propriétaire/locataire Les biens immobiliers ont souvent été loués pendant plusieurs années par des locataires qui n’ont pas forcément respectés les règles concernant l’entretien du bien mis en location (travaux divers, rénovations…).

Les erreurs de calcul de la plus-value immobilière

Une plus-value immobilière est une différence positive entre le prix de vente et le prix d’achat d’un bien immobilier. Cette différence est souvent calculée par l’intermédiaire du coefficient multiplicateur.

La plus-value immobilière n’est pas réglementée par la loi, cependant, elle fait l’objet de certaines règles.

Il existe en effet des règles qui sont destinées à encadrer les plus-values immobilières ainsi que leurs modalités pour pouvoir être déclarée.

Les règles qui encadrent la plus-value immobilière concernent : Le calcul de la plus-value imposable, La taxation de la plus-value, L’application du taux libératoire ou non… En principe, un propriétaire peut vendre sa maison même si celui-ci ne présente pas un grand intérêt sur le plan patrimonial. Si vous avez besoin d’une maison secondaire ou que vous cherchez à gagner de l’argent facilement, vous pouvez envisager de vendre une partie de votre habitation principale afin d’en tirer un profit supplémentaire. Pour ce faire, il convient toutefois d’appliquer les règles relatives aux plusvalues immobilières et d’effectuer des calculs minutieux pour être sûr que votre opération soit rentable en termes financiers.

Les erreurs de détermination de la résidence fiscale

Les résidents fiscaux sont les personnes qui ont leur domicile fiscal en France. En vertu de la convention fiscale franco-luxembourgeoise, seules les sociétés dont le siège social est situé au Luxembourg et qui exercent une activité industrielle ou commerciale en France peuvent acquitter l’impôt sur les sociétés (IS) dans ce pays. Pour un contribuable individuel, il existe également des règles particulières lorsque celui-ci possède un domicile fiscal à l’étranger. Par ailleurs, il convient de noter que pour certaines activités professionnelles exercées par une entreprise établie dans un autre Etat membre de l’Union européenne, cette dernière peut bénéficier du régime mère fille permettant aux filiales situées en France de bénéficier d’une exonération totale ou partielle de l’impôt sur les sociétés afin de favoriser la constitution des fonds propres nécessaires à la protection du capital investi et à la croissance future. De plus, le régime mère fille permet à une société mère établie dans un État membre autre que la France et ayant une succursale en France, d’obtenir le remboursement immédiat des crédits d’impôts sur les bénéfices qu’elle a supportés au titre de ses opérations intracommunautaires réalisée avec sa succursale française via cette succursale. Toutefois, cette mesure ne trouve pas application si elle est contraire aux dispositions fiscales relatives aux prix de transfert (art 238 sexdecies du CGI).

Les erreurs de gestion de la fiscalité immobilière

La fiscalité immobilière est souvent négligée par les entrepreneurs. Pourtant, c’est un aspect important pour la réussite de votre entreprise. Si vous ne vous y intéressez pas, vous risquez de commettre certaines erreurs qui pourraient avoir des conséquences fâcheuses sur votre entreprise.

Les atouts de la fiscalité immobilière ? La fiscalité immobilière est une forme d’impôt qui permet aux propriétaires de biens immobiliers (terres agricoles ou terrains) d’en tirer des revenus. Ces revenus sont imposés à un taux fixe et unique à chaque pays selon le type d’activités que vous exercez : loyers, plus-values ou autres.

Il existe différents types d’imposition liés au secteur immobilier : – L’impôt sur le revenu : ce type d’impôt permet aux contribuables de bénéficier d’un abattement forfaitaire et/ou progressif en fonction du montant de ses recettes locatives (loyers). Cet abattement peut être réduit si les recettes locatives sont inférieures à certains plafonds ; – L’impôt sur les sociétés : il permet aux entreprises commerciales (boutiques, restaurants…) ou non commerciales (entrepreneurs individuels…) de déclarer les loyers qu’elles encaissent comme des bénéfices industriels et commerciaux (BIC) au lieu des bénéfices non commerciaux (BNC). Ce choix a un impact direct sur la fiscalité applicable à l’entrepreneur concernant son imposition personnelle ; – Le droit de mutation : ce droit concerne la vente ou la transmission d’un terrain constructible.

Si vous envisagez de créer votre entreprise, l’une des décisions les plus importantes que vous devrez faire est de choisir entre le statut d’entrepreneur individuel et celui d’entrepreneur en société. Lorsque la décision est prise, il faut ensuite choisir le type de société qui convient à votre projet. Ensuite, il faut choisir la forme juridique qui convient à votre activité.